[X][!] Nuit agité. [Mon maître]

Sur Morphia, la nuit tombait doucement. Je le voyais depuis la grande baie vitrée de ma chambre, qui m'offrait une vue imprenable sur toute la Cité des Illusions. J'aimais particulièrement cet endroit trés en hauteur qui renforcait mon impression de dominance, ce sentiment exaltant qui me faisait réellement me sentir divin. C'était cela que d'être un dieu : surplomber le reste de la création, le reste de la masse grouillante.

J'étais prêt à aller m'aliter et avait une tenue légère, soit un simple pantalon court en soie grise que je portais assez bas et torse nu, ce qui offrait à la vue mon torse. Ma crinière était elle totalement relâchée et s'étalait en cascade sur mes épaules pendant que quelques mêches balayaient mollement mon visage.
J'étais certes prêt à me coucher, mais cela ne voulait pas dire que j'allais passer la nuit seul. Comme à mon habitude, j'avais fait appeller une de mes esclaves afin de satisfaire mes appétits charnels et je comptais bien trouver satisfaction. Pour ce soir, je conserverais mon apparence habituelle, puisque j'avais convoqué une fille que je n'avais encore jamais "testé". Une récente arrivante dans le Rêve, une charmante elfe répondant au nom d'Ellirya. Je l'avais "sentie" alors qu'elle s'incarnait dans ce monde et elle m'avait plu de suite. Aussi l'avais-je rapidement récupérée pour mon amusement personel. Et ce soir, je la rencontrais pour la première fois. J'allais bien évidemment m'approprier son corps pour mon intêret, mais aussi lui expliquer la vie dans ce nouveau monde.
Alors qu'elle frappait, j'ouvrais mentalement la porte et la laissait se dévoiler à moi, trés désirable dans cette robe légère qui mettait ses généreux avantages en avant. Ellirya s'inclina puis parla avant de me fixer.
Esquissant un petit sourire de satisfaction, je lui répondis en lui tendant la main.

- Oui. Entre donc, Ellirya, ne te gêne pas. Tu es ici chez toi.

Ma chambre s'ouvrait à elle. Circulaire, un immense lit moelleux où pouvaient aisément tenir une dizaine de personnes faisait face à la grande baie vitrée dos à laquelle je me trouvais. Il y avait une grande armoire où je rangeais quelques accessoires sexuels ainsi que quelques tenues féminines pour mes partenaires, ainsi qu'un mini-bar et des fauteuils devant une cheminée. Un grand luxe, oui... Mais je ne me refusais rien et les femmes qui avaient l'honneur de cette chambre n'avaient généralement pas à s'en plaindre.
M'asseyant sur le lit tout en dévorant Ellirya des yeux, j'entamais la conversation pour la mettre à l'aise.

- Tu es délicieuse, ma belle. Je ne regrette vraiment pas de t'avoir choisie comme esclave... Bien. Je pense que tu sais pourquoi tu es ici et tu me montrera rapidement tes talents. Tout tes talents.... Mais en attendant, je vais te laisser poser toutes les questions quant à ta nouvelle vie, j'y répondrais avec application.

Me levant, je tournais à pas feutrés autour d'elle en faisant glisser ma main sur son corps. Celle çi s'arrêta sur ses fesses et glissa le long de sa cuisse droite tandis que je m'asseyais sur le bord du lit, satisfait de ce corps que je venais de palper.

Je n'étais pas sans lui plaire, cela se lisait dans ses yeux. Ce sentiment, je l'avais déjà rencontré chez bien d'autres conquêtes mais je m'en délectais toujours autant, même aprés tant de fois. Cela devait être mon côté humain, qui appréciait d'être ainsi désiré. Il était vraiment bon d'être un homme entouré de femmes asservies autant par la force que par leurs propres envies corporelles.
La main qui était sur sa cuisse n'avait pas cessé de la caresser, et avait soulevé le tissu de la robe pour découvrir son sexe lisse. La belle Ellirya n'avait pas de lingerie, ce qui avait de quoi m'émoustiller.
Je la laissais s'assoir à terre face à moi pendant que je lui répondais, caressant sa joue de ma main, entortillant une mêche de ses cheveux autour d'un de mes doigts en souriant.

- Pourquoi toi ? Enfin... Pourquoi tu es sur Morphia, tu veux dire ? Hmm.... Je n'en sais rien. N'importe qui peut être prit dans le Rêve, Ellirya. De la pire des ordures à la plus innocente des jeunes femmes. Il suffit de pouvoir rêver, c'est aussi simple que cela. Je n'ai pas fais en sorte que tu atterisse ici.

Ma caresse s'était faite un peu moins douce et appliquée et mon visage s'était quelque peu assombri, je devais l'avouer. Ce que je venais d'évoquer avec mon esclave était un point un peu douloureux pour mon égo. Ne pas savoir ce qui se passait, ne pas avoir de prise dessus.... Cela me jettait parfois dans une colère noire.
Ellirya n'avait pas pour autant à pâtir de mon égo, aussi repris-je mes caresses de la main en descendant à présent le long de sa gorge, puis sur la naissance de ses seins rebondis. Je parcourais la peau du haut de ces derniers en glissant un peu mon doigt dans son décolté, le regard dans le vide pendant que mon sexe durcissait doucement, tendant peu à peu le tissu de mon pantacourt.

- Pour le reste de ta question car tu me plais, simplement. Ton corps est parfait. Des seins ronds, fermes et pleins, un fessier rebondi, un joli minois... Tu es trés désirable et je te veux. Un claquement de doigt et tu obéis à n'importe lequel de mes désirs. En retour, tu sera plus que bien traitée et tu pourras faire ce que tu veux dans tout Morphia. Même profiter d'autres partenaires si le coeur t'en dis.

Souriant, je glissais toute ma main dans son décolté pour saisir l'un de ses seins afin de le masser, mon doigt s'amusant à bouger son téton durci par le désir. Me penchant, je déposais un baiser sur ses lèvres, avant de faire courir le bout de ma langue sur celles çi.

Lorsqu'elle vit que ce qu'elle m'avait demandé avait commencé à assombrir mon humeur, Ellirya tenta de se rattraper en me caressant doucement la joue. C'était... Mignon, comme si j'avais été un enfant qu'il avait fallu consoler. Appréciant le fait qu'elle tente de se rattraper, je ne disais rien et la laissais faire, ma main pressant toujours son sein dont la peau roulait sous mes doigts.
J'avais toujours apprécié les fortes poitrines et je devais dire que celle de ma nouvelle esclave me comblait sur bien des points. Et dire que je pouvais en profiter autant qu'il me plaisait, sur simple demande...

- Oh, mais je ne m'en fais pas.... Je sais que tu ne partira pas et de toutes façons je ferais en sorte de te garder le temps que tu arrivera à me satisfaire.

Car aussi agréable que je pouvais me faire pour mes esclaves, je ne gardais pas celle qui ne me convenait pas. Je leur rendais simplement leur liberté et ne les revoyais plus. Il y avait tant de femmes sur Morphia que je n'allais pas me fatiguer à me construire un harem inutile.
Je sentis ma belle esclave frémir sous mes mains balladeuses qui pétrissaient ses seins comme un boulanger sa pâte. Je jouais avec ses tétons tendus pendant que ma langue se glissais entre ses lèvres pour chercher la sienne et la caresser.
Mmm... Je sentis enfin sa main s'interesser à mon sexe tendu. La sensation était agréable mais j'en voulais plus, alors je la fis se lever enlui ouvrant légèrement les jambes puis je lui demandais de pencher le buste. Ainsi, j'avais toujours sa poitrine généreuse à disposition (qu'elle avait d'ailleurs libéré en enlevant son haut) et ma seconde main pouvait se glisser entre ses jambes en glissant sur sa peau sombre pour finalement dévaler sur son sexe, que mon doigt découvrait pour l'instant de l'extérieur.
Finalement, je cessais le baiser pour amener ma tête vers sa poitrine, embrassant le sein que je tenais fermement avant d'accorder à ce dernier quelques coups de lèvres, commencant tranquillement à sucotter l'extrémité dure...

Je devenais chaude, mon corps frémissais sous ses caresses. Puis vint le moment ou sont doigt me pénétra, je lâcha un gémissement de plaisir, me mord la lèvre "- Tout va bien, rassure toi..." Puis un second doigt entre bien plus actif que le premier et il s'amusa avec mon clitoris alors que sa main libre caressé ma joue "- N'aie pas d'hésitation si tu veux prendre l'initiative..." Je m'abaissa doucement, prenant son membre en bouche et je commença des vas et viens lents et doux. Caressant doucement sa peau, son torse mes vas et viens se fit plus vite. Je le regarda et lui souriais. Je stoppa tout, j'allongeai le Dormeur sur son lit et me mise sur lui l'embrassant doucement, déboutonnant son pantacourt pour lui enlevé en souriant. Puis je reprit mes vas et viens en mains, embrassant le torse de mon Maître. J'étais heureuse d'être ici car même si j'étais devenu une esclave, mon maître était si gentil avec moi...